Plus important festival photographique en France, implanté dans les Bouchesdu-Rhône depuis plus de cinquante-quatre ans, les Rencontres d’Arles sont calées aux petits oignons, et la programmation est dévoilée, a déclaré Christoph Wiesner, son président. Et c’est bien sous le signe de l’exploration que les organisateurs ont focalisé leur programmation d’expositions, notamment locale. On y trouvera ainsi logiquement l’d’Éric Tabuchi et Nelly Monnier dans leur exposition “Soleil gris”, Mathieu Asselin avec “Ici près”, qui nous proposera sa vision d’un site industriel de Tarascon, pendant que Tanja Engelberts tout comme Yohanne Lamoulère explorent pour nous le Rhône et Sheng-Wen Lo la Camargue. Le voyage n’est pas que local et se poursuit aux États-Unis avec Gregory Crewdson ou avec un focus sur la photographie nordique. On explorera aussi le temps avec une mise en avant cette année de la cinéaste Agnès Varda et de Diane Arbus à la fondation Luma, de Harold Feinstein à Mougins, de Saul Leiter ou encore des archives du journal , qui débarque à Arles pour fêter son 50e anniversaire. Peu de changements à noter dans la semaine professionnelle, qui sera rythmée par les soirées au théâtre antique et les différentes remises de prix.
Voilà l’été sur Arles
May 11, 2023
1 minute
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