etit coup de clé pour réveiller le quatre-cylindres Boxer et pas grand-chose… Du moins par rapport à ce que l’on serait en droit d’attendre d’une Subaru Impreza GT Turbo. Pas de grognements, ni borborygmes, explosions ou pétarades expectorés par un échappement gros comme le poing, mais une sonorité feutrée qui s’échappe d’une fine double sortie. Seul le timbre saccadé rappelle discrètement l’architecture atypique du passager caché sous le capot. Son heureux propriétaire, Guillaume, s’en amuse: Après avoir jeté son dévolu en fin d’année 2019 sur cette Impreza GT Turbo datant de 1998, il s’attache à la rendre la plus conforme possible à ce qu’elle fut à sa sortie d’usine. Un vœu pieux tant les modèles,
