LES LIBRAIRES
Boris Akounine, Vladimir Sorokine, Ludmila Oulitskaïa ou l’écrivain ukrainien Andreï Kourkov ont été accueillis au Globe, librairie généraliste et centre culturel russes résolument ouverts sur le monde. « Rouge » à son ouverture en 1952, l’enseigne promeut d’abord l’idéologie du régime soviétique et pâtit de la dislocation du bloc de l’Est au début des années 1990, avant d’être reprise en 2004 par François Deweer puis en 2016 de Boulgakov, auquel Natalia Turine préfère encore un roman de Marguerite Yourcenar,.