Ce sont des poignées de main mises en scène sur le compte Instagram de la présidence syrienne qui en disent long. Il y a celle du 27 février avec Sameh Choukri, le ministre égyptien des Affaires étrangères, lors d’une rencontre inédite à Damas en plus de dix ans. Celles avec les chefs de la diplomatie arménien, jordanien puis émirati. Celle très remarquée à Oman le 20 février, avec un autre chef d’État cette fois, le sultan Haïtham ben Tariq Al Saïd, connu pour son rôle de médiateur régional. Le président syrien, tout sourires, y effectuait sa deuxième visite dans un pays arabe depuis 2011, après celle aux Émirats arabes unis en 2022…
À la faveur du double séisme qui a résume le journal syrien d’opposition.