“Le déficit en mouvement a une incidence considérable sur nos tissus, nos os, nos muscles et la moindre cellule de notre corps. Comme la malbouffe, il nous enferme dans des douleurs et des maladies chroniques.” Katy Bowman, biomécanicienne qui enseigne l’écologie du mouvement dans les universités américaines, est alarmiste: “À l’image d’une personne sous-alimentée ou sous-oxygénée, une carence en mouvement a un impact sur le corps, jusqu’au niveau cellulaire.”
AU-DELÀ DU SPORT
Dans son nouveau livre, , (éd. Thierry Souccar), elle précise que “nous sommes tous carencés en mouvement, que