La reconnaissance des tracés ne devrait pas lui faire des nœuds au cerveau. La piste de l’Éclipse a beau être toute fraîche en format compétition, elle est imprimée en Alexis Pinturault. L’an passé, juste après le rendez-vous inaugural des finales de Coupe du monde, on avait eu la chance d’y suivre sa trace, au gré des 3,2 kilomètres de descente.
Il y récitait, comme on fait le tour du propriétaire, les longues courbes du haut, pour le saut des Jockeys, ou encore la nouvelle portion finale, ce mur des Braves et