ONSTANTIN BRANCUSI, son atelier sanctuaire, sa pratique d’avant-garde… et ses démêlés rocambolesques avec la justice. L’histoire, connue, reste dans la mémoire collective « le procès de l’art moderne ». Tout commence à l’automne 1926, quand l’artiste expédie par bateau des sculptures destinées à la galerie Brummer de New York, en vue d’une exposition monographique. C’est son ami Etats-Unis. Tandis que l’artiste s’explique au consulat américain de Paris, une kyrielle d’experts, gardiens de l’académisme ou fervents modernistes, défilent à la barre face au magistrat new-yorkais sommé de se forger une opinion.
Brancusi contre Etats-Unis: le procès de l’art moderne en bande dessinée
Jan 12, 2023
2 minutes
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