our bien le connaître, son actrice fétiche, Sigourney Weaver, le confirme : James Cameron s’est adouci avec les années, lui le perfectionniste, dont les coups de gueule sur les plateaux ont longtemps été dantesques. Le cinéaste canadien (même s’il a demandé récemment la nationalité néo-zélandaise) s’amuse comme un enfant pendant la séance photo qu’il nous accorde, blague avec son staff, veut encore prolonger la rencontre pour parler cinéma et création. Malgré un planning de ministre pour les quelques heures qu’il passe à Paris, premier arrêt d’une tournée mondiale (Grande-Bretagne, États-Unis, Australie) pour promouvoir « Avatar. La voie de l’eau », qu’il a terminé il y a seulement quelques jours. Face à notre réaction étonnée, il lance, hilare : « Et encore, je me suis fait violence ! » Cheveux blanchis mais allure de jeune homme, Cameron a révolutionné à sa façon le cinéma moderne, de « Terminator » à « Abyss » ou « Titanic ». Une légende vivante, à l’égal d’un Spielberg ou d’un George
AVATAR 2 LE GRAND BLEU
Dec 15, 2022
6 minutes
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