e l’extérieur, c’est une belle succession de plans horizontaux, dont les façades vitrées reflètent la ville de Maisons-Alfort d’un côté, le parc de l’école vétérinaire de l’autre. confirme Vincent Lavergne, architecte du projet et fondateur de l’agence VLAU. Si reprend l’architecte. En tout, 7 650 m2 répartis sur six niveaux plus un sous-sol et 130 m2 de terrasses. À l’intérieur, l’harmonie se ressent de manière sensorielle. La lumière, l’acoustique, l’odeur des essences flottant un peu partout, notamment dans la « rue intérieure » au plafond décoré de centaines de lamelles de bois suspendues. La totalité est issue de forêts domaniales (Grand Est, Centre, Pays de la Loire) gérées par l’ONF selon un système de traçabilité rigoureux. confirme de son côté Samuel Poutoux, de l’atelier WOA. reprend Vincent Lavergne. La connexion entre l’architecture et l’univers du travail fut également l’un des grands axes de réfl exion des deux agences. confirme Vincent Lavergne.
