out monument du 7e art qu’il soit, est né autour d’une partie de billard ! Nous sommes en 1949 et Arthur Freed, producteur à la MGM, écume les bars de Los Angeles avec son ami Ira Gershwin, fêtard émérite et frère de l’illustre George, génie du jazz, disparu avant-guerre. Entre deux verres et divers coups de moins en moins précis sur le tapis vert, Freed confesse : « J’ai toujours rêvé d’une comédie musicale sur Paris. Et je me disais, comme ça, qu’ – cet air qu’avait composé George – ferait un excellent titre. M’en céderais-tu les droits ? àGershwin accepte donc. À une condition : que seuls des morceaux de George soient utilisés dans le film. Marché conclu. Freed est ravi, même s’il n’a pas la moindre idée du scénario, ni du casting et des chorégraphies. Il sait juste, d’instinct, que la musique de Gershwin associée à Paris et à la danse pourrait bien rimer avec succès.
Un Américain à Paris Une naissance épique
Nov 02, 2022
3 minutes
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