éjà cinq générations que la marque allemande de canapés Bretz apparaît comme un outsider dans l’univers de la décoration. En apparence. Car si, clairement, ses modèles sont loin de l’épure prônée depuis des décennies, ils répondent à une autre parfaits pour donner une personnalité à des pièces sobres ou souligner des partis pris forts en pigments. Qu’il s’agisse du canapé de Pauline Junglas, inspiré du jeu de Tetris, combinant des parallélépipèdes, des coins arrondis, différentes profondeurs d’assise et un rembourrage voluptueux, ou du canapé de la même designer, qui matérialise une feuille de nénuphar au travers d’un surpiquage du revêtement en velours vert, comme une évocation de sa nervure, les nouveaux modèles du fabricant confirment son goût pour les arrondis moelleux et une palette de couleurs vives. Et le contexte abonde dans le sens de cette stratégie: décrypte la dirigeante. Sur le plan esthétique, même revendication d’indépendance: La chef d’entreprise confie l’un des arcanes de la direction artistique : La responsable va encore plus loin dans l’affirmation de l’esprit d’entreprise Bretz: Pour le moins attachants.
Bretz : vive la liberté !
Sep 16, 2022
1 minute
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