Bechstein se met en trois
ntre un Wilhelm Backhaus, qui se déclarait en 1925 « inconditionnel des excellents pianos Bechstein » ou un Benjamin Grosvenor, qui loue « une voix personnalisée, riche en couleurs », la marque allemande a souvent séduit les pianistes d’hier comme ceux d’aujourd’hui. Les trois nouveaux modèles de C. Bechstein ont en commun une révision de la table d’harmonie (pour une transmission plus intense des vibrations), un nouveau mécanisme de jeu permettant, à chaque instant, un contrôle et une capacité de répétition affinés, un nouveau rapport de frappe – le point de frappe plus éloigné de la corde permet une meilleure excitation de la corde. Avec le , l’accent a été mis sur la richesse du timbre et de l’ensemble des tessitures. La nouvelle mécanique, qui veut se rapprocher des sensations des pianos à queue, favorise l’amplitude des nuances. Successeur du A124, le C. Bechstein est le fruit du développement d’un système acoustique et d’un mécanisme musical optimisé, basé sur l’allongement de la longueur des cordes, un cadre esthétique en fonte amélioré et une caisse de résonance plus performante. Enfin, le piano compact C. Bechstein se distingue par la pureté de son design, alliant clarté visuelle et lignes réduites. Du point de vue sonore, l’accent a été mis sur la richesse des couleurs. Il est disponible en option avec le système numérique C. Bechstein VARIO duo.