Quatre ans après sa dernière édition (le millésime 2020 avait été annulé pour cause de pandémie), le Mondial de l’auto a donc retrouvé la Porte de Versailles. Dans un contexte difficile, marqué par un marché des véhicules neufs en berne, les organisateurs avaient décidé de réduire la voilure (une seule semaine au lieu de deux), afin de baisser les coûts pour les exposants. Un effort qui, visiblement, n’avait pas suffi pour faire le plein de constructeurs.
Une aubaine pour de nouveaux arrivants, qui ont pu exposer leurs modèles très aboutis, à l’image des chinois (BYD, Great Wall Motor, Seres…) ou du vietnamien VinFast. Mention spéciale aussi pour le groupe Renault (Alpine, Dacia, Mobilize et Renault) qui exposait des show-cars particulièrement sexy. Plus discret, Stellantis n’avait mandaté que DS Automobiles, Jeep et Peugeot, qui faisaient la part belle à