La fête populaire s’empare de Paris – avec ambition – en y injectant de l’art contemporain, jugé parfois élitiste. Deux institutions culturelles, le Centquatre (19e) et l’Institut du monde arabe (5e), proposent des événements évoquant les kermesses, foires et cirques de village.
Au Centquatre, une grandeprécise le directeur du lieu, José-Manuel Gonçalvès, co-commissaire avec Fabrice Bousteau. Le duo a repris les codes de la fête foraine mais appliqués à des créations d’art.