uelque cinq années ont passé depuis les décès de Charles Bradley et de Sharon Jones, piliers du label Daptone. Mais on dirait en tête), place d’entrée la barre très haut. On y parle du cœur et de l’absence, on se love dans les arrangements de Gabe Roth (à l’œuvre pour le d’Amy Winehouse) et l’on a plus l’esprit à la caresse qu’à l’agitation. Avec leurs harmonies vocales, leurs lignes de basse enveloppantes et des pointes de guitare qui touchent juste (), les Thee Sacred Souls manipulent avec maîtrise les tempos langoureux, matrice du disque. Il y a déjà comme un son signature, même si l’on sent bien qu’il a ruisselé en provenance des meilleures sources, tels Marvin Gaye ou Al Green.
Thee Sacred Souls
Sep 04, 2022
1 minute
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