OUTRE SON JOYEUX BOULEVERSEMENT D’ARCHITECTURE AVEC SON MOTEUR CENTRAL, LA C8 AFFICHE DEUX ÉLÉMENTS FORTS : STRUCTURE ALUMINIUM ET CARTER SEC.
LE DESIGN GÉNÉRAL DIVISE LES AVIS. SURTOUT LA PARTIE ARRIÈRE, OÙ L’AILERON SURAJOUTE UNE COUCHE À L’EMPILEMENT.
’est irrésistible : la vue d’une Corvette déclenche des débats sur l’Amérique. C’est un peu sa faute : elle a pour fier slogan . Par conséquent, elle ne peut se garer quelque part qu’accompagnée d’un petit cortège de clichés. Le job du journaliste, en cette matière futile comme en d’autres bien plus essentielles au destin des nations, c’est de recenser la vérité des faits. Bon, embarquons la Stingray pour une balade en forme de mise au point. D’autant que nous avons d’autres questions à débattre, aussi fondamentales que : « Quelle est donc la bonne position du moteur pour une Corvette ? » Première Corvette à moteur central (pas tout à fait, nous y reviendrons…), la Stingray (C8) divise les points de vue, même parmi les américanophiles convaincus. Moi-même, je me demande ce que j’en pense… Ma première réaction, pour être franc, c’est que la Corvette pouvait bien garder son moteur à l’avant ; il est bon que le plaisir de conduire existe en plusieurs parfums et les pages de regorgent de berlinettes à moteur central. Ma deuxième réaction, c’est que si, comme l’a dit Laurent Chevalier dès la première prise en main, elle fait mieux que la C7 dans tous les secteurs du jeu, ça devrait être sympa…