yron, Kafka, Pouchkine, Flaubert, Gide, London, mais aussi Mishima, Walt Whitman et Zelda Fitzgerald, autant de noms qu’unissent, outre leur statut d’écrivain, la passion du crawl et de la brasse, et cet amour immodéré pour l’ « », son « » voluptueusement cités dans le récent de Chantal Thomas (Seuil/Fiction & Cie) qui, après ses , hommage à la figure maternelle, nageuse inconditionnelle, exprime dans ce livre cette forme de liberté reçue en héritage. Plus souvent perçus » en épousant l’onde qui, parfois, saura leur inspirer un livre. Que l’on songe au de Valentine Goby, racontant la renaissance d’un homme depuis l’accident qui le prive de l’usage de ses bras jusqu’aux Jeux paralympiques de Tokyo en 1964, à de Colombe Schneck, au de Jim Harrison, à de Léa Tourret ou à de Marianne Apostolides, une tendance de fond semble tracer son sillon en librairies, accompagnée des déclarations d’écrivains qui, à l’instar de Constance Debré ou de Nathalie Azoulai, vantent les bénéfices des disciplines aquatiques.
LA NAGE EN PARTAGE
Jul 04, 2022
3 minutes
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