Sous la plume de l’emblématique écrivain cubain, ce mot d’humour, d’apparence anodine, dessine la frontière symbolique qui distingue la vie littéraire cubaine des autres. En interview, quand l’écrivain américain répond à de plaisantesqui conditionne la vie et l’œuvre de Leonardo Padura : être un écrivain cubain, qui vit et écrit à Cuba. Ce que le poète Virgilio Piñera appelle en est la matérialisation. De part et d’autre du Malecón, serpent de pierre délimitant la frontière cubaine, il y a la et, de l’autre côté du mur, des exilés.
Cuba, pour vivre et pour écrire
May 02, 2022
1 minute
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