Iran, le point de bascule
n’est plus qu’une question d’heures, disent-ils. Après onze mois de négociation en zigzag, d’avancées et de revirements, le nouveau gouvernement conservateur iranien issu de l’élection présidentielle de l’été dernier et les États-Unis de l’administration Biden sont prêts à signer. L’accord de Vienne adopté en juillet 2015, qui prévoyait un démantèlement du programme nucléaire iranien en échange d’une levée des sanctions qui frappent le régime des mollahs, devrait pouvoir renaître. disait-on hier à l’Élysée. Malgré la guerre en Ukraine, qui sature tout l’espace médiatique, les opposants à Joe Biden n’ont pas manqué de se faire entendre pour dire le peu de bien qu’ils pensent d’un retour de leur pays dans cet accord conclu sous la présidence Obama mais déchiré par Donald Trump en
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