FRÉMISSANT PATRICIEN
Jan 27, 2022
2 minutes
Laurent Muraro
mporté par un cancer à l’âge de cinquante-quatre ans, Geza Anda n’aura pu collaborer activement avec Deutsche Grammophon que durant une douzaine d’années, mais toujours pour des disques d’une qualité remarquable. Passé, à l’Académie Franz Liszt de Budapest, entre les mains de Kodaly pour la de 1943 avec Van Beinum (Furtwängler, qui avait dirigé Anda dans l’œuvre au même moment, y saluait un « troubadour du piano »), ou dans un bouquet d’intermezzos passionnés du vieux Brahms d’une étourdissante hauteur de vue, graves mais sans rien de pesant (grand prix du disque en 1948).
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