Le cata facile en 10 étapes
LE CATAMARAN, en croisière, c’est plus d’autonomie en eau et en carburant, plus d’énergie, plus de confort, un meilleur accès à l’annexe et donc plus de mobilité… Mais il y a aussi les « moins »: moins de promiscuité, pas de gîte, mois besoin d’escales au port, et donc moins de manoeuvres de port! Un bilan subjectif? Sans doute. Mais vous conviendrez que le cata cumule pas mal d’avantages en croisière. D’où son succès dans les flottes de location, aux Antilles et ailleurs, comme chez les propriétaires.
LE CATA, C'EST LA BELLE VIE!
Le cata, qu’on le veuille ou non, c’est la belle vie en mer. C’est aussi une autre façon d’aborder la croisière qui vous tient à l’écart des pontons. En cata, même si on a envie d’une soirée au restaurant, on préfère souvent mouiller devant le port, ou à côté, et y aller en utilisant une annexe généreusement motorisée, suspendue à ses bossoirs et si facile à mettre à l’eau. Et si une petite houle s’invite au mouillage, pas grave… Quand les monocoques roulent bord sur bord, votre cata oscille à peine. La belle vie pour l’équipage donc, mais aussi pour le skipper qui s’épargne bien des manoeuvres stressantes même si, on va le voir, les manoeuvres au moteur sont nettement plus simples en cata qu’en monocoque. Le cata est le bateau familial par excellence. Avec deux coques, deux ambiances si nécessaire, et davantage d'intimité que sur un monocoque. C’est l’équipage qui donne le tempo; charge au skipper de s’adapter à ses envies voire, disons-le, de se mettre à son service… Tout le contraire de ce qu’on a trop souvent lors de croisières familiales
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