Rififi à Abu Dhabi
MOHAMMED BEN SULAYEM, LE NOUVEAU PRÉSIDENT DE LA FIA, DEVRA ARRONDIRLES ANGLES AVEC LEWIS HAMILTON. IL A COMMENCÉ SON MANDAT EN MENAÇANT DE SANCTION LE CHAMPION ANGLAIS POUR NE PAS AVOIR ASSISTÉ À LA REMISE DES PRIX DE LA FIA.
La Fédération internationale de l’automobile (FIA) a confirmé avoir lancé (tardivement, le 10 janvier) une investigation qu’elle veut « approfondie, objective et transparente » à la suite de la confusion qui a affecté la fin du championnat. Ce compte rendu était attendu à l’occasion du premier conseil mondial de l’année programmé le jeudi 3 février, mais le processus a pris du retard. Le 19 janvier, une question destinée à l’utilisation de la safety car était à l’ordre du jour du comité sportif de la FIA. L’étape suivante devait être une discussion commune avec tous les pilotes de F1. Un communiqué de la Fédération a précisé le calendrier des travaux: « Le résultat de cette analyse détaillée sera présenté à la Commission F1 en février et les décisions finales seront annoncées lors Soit deux jours avant le premier grand prix de la saison. Lewis Hamilton, qui souhaitait connaître les conclusions de cette enquête avant de déterminer la suite à donner à sa carrière, devra patienter. A moins que son patron Toto Wolff, qui devait s’entretenir à la mi-janvier avec Mohammed Ben Sulayem, le nouveau président de la FIA, ne lui apporte avant cela des nouvelles réconfortantes.
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