es designers sont restés de grands enfants… Dernière preuve en date, « Jeux de salon », la collection de José Lévy pour Lelièvre. L’éditeur, tisseur et créateur de tissus a confié sa première ligne de explique-t-il. À cette idée du jeu et de la déconstruction, il a additionné un esprit ras du sol inspiré de la tradition japonaise, culture qu’il affectionne. Fauteuils, repose-pieds, bancs, poufs, tapis tuftés main et coussins qui s’assemblent et se désassemblent au rythme de la journée et des postures. Au cœur de cette création de pièces à vivre ensemble, un aux proportions immenses. détaille le designer. En tapissant de velours ses modèles aux teintes vives, il s’est aussi plongé dans l’histoire de la maison Lelièvre, qui a démarré dans le tissu comme veloutier il y a une centaine d’années. Un ensemble disruptif, à la fois espiègle et d’une grande élégance, comme souvent dans le travail de José Lévy. se réjouit Emmanuel Lelièvre, le directeur général de la maison.
