La classe absolue, quoique…
isano, dimanche 24 octobre, la dernière course en GP de Valentino Rossi en Italie. Manifestement, les vont lui faire une fête géante et j’imagine que Vale va mettre le feu. La promesse est trop belle et je décide d’aller en Émilie-Romagne pour vivre ce moment unique qui clôt une, applaudissements. Autour du circuit, les spectateurs attendent avec impatience le dernier passage de la légende; dans les gradins, chacun imagine qu’il va faire un tour d’honneur pour saluer une dernière fois les tifosi et les étrangers perdus au milieu de la marée jaune; bref, un truc qui ne coûte pas cher et qui procure énormément de joie à des milliers de personnes. Eh bien, non! Le mec rentre dans les stands et basta, laissant le public médusé, sidéré, qui hésite avant de quitter les tribunes et de se taper deux heures d’embouteillage pour quitter le circuit. Je ne suis pas du genre «fan-club», même si je suis scotché depuis 25 ans par cet homme populaire que je trouvais, jusqu’à aujourd’hui, avoir la classe absolue. Et pourtant, j’ai fait 1 400 km et des heures de bouchon pour être là lors de ses adieux… ratés! Heureusement, Fabio a été titré. J’ai donc passé un bon dimanche.
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