epuis la rue, on aurait presque l’impression de pénétrer dans une banque. Et pour cause, cet immeuble bourgeois en grès rose abrita, au début du XX siècle, la Strassburger Bank. déclare l’un sous verrière au centre duquel s’élève un bar aux proportions sculpturales. Et si vous souhaitez vous retrouver entre amis sans être gêné par les voisins, pas de problème, l’endroit dispose de plusieurs salles à manger privatisables. Le groupe Diabolo Poivre Gestion, déjà présent dans la capitale européenne avec plusieurs tables à succès (La Corde à linge, Tzatzi, La Hache…), a sollicité son designer fétiche, Pascal Claude Drach, pour brouiller les codes entre brasserie, pub anglais et bar à cocktails. Aussi, le dispositif ne manque pas de détails qui, là encore, impriment le regard: céramiques blanches et boiseries peintes habillent les parois; les sols sont recouverts de mosaïques et, à l’étage, d’un parquet à chevrons; plusieurs modèles de chaises en bois cintré renouvellent le style bistrot tandis qu’une série d’accessoires et de luminaires en laiton apporte un cachet vintage. Enfin, des couleurs chatoyantes se retrouvent par touches bien choisies sur le mobilier, les banquettes ou encore les escaliers, et participent forcément à la joie de vivre de ce sympathique cabinet de curiosités.
Cigognes, cocktails et plats canailles!
Dec 03, 2021
1 minute
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