Séance de rattrapage
groupe Toyota a été l’un des tout premiers à croire en la technologie hybride, avec d’abord sa fameuse Prius, dès 1997 au Japon, puis très vite sous le badge Lexus avec le RX 400h en 2005. L’histoire lui a donné mille fois raison : ce qui faisait à l’époque figure de curiosité est en passe de devenir le nouveau standard, porté, il est vrai, par une fiscalité avantageuse. Reste que selon la tendance, l’hybridation classique ne suffit plus : pour satisfaire aux ambitieux objectifs qui s’imposent aux industriels, il faut passer à l’hybridation rechargeable (“PHEV”). Un domaine où Lexus possède a priori moins d’expérience puisque ce NX 450h+ est… le tout premier du genre pour la marque! Mais pas le premier du groupe, Toyota utilisant cette technologie sur ses Prius et RAV4 hybrides rechargeables. Le NX 450h+ reprend donc naturellement le groupe motopropulseur de ces derniers, en associant un 2.5 essence très optimisé (taux de compression de 14:1, cycle d’Atkinson) à deux moteurs électriques : un de 182 ch à l’avant, et un autre de 54 ch sur l’essieu arrière afin de proposer quatre roues motrices. Et pour respecter la hiérarchie marketing entre les deux marques, le Lexus bénéficie de… 3 petits chevaux supplémentaires, soit 309 ch au total ! Comme son cousin, le NX 450h+ embarque une grosse batterie de 18,1 kWh de capacité brute (la capacité nette utilisable n’est pas communiquée par Lexus). Pour rappel, la toute première Zoe 100% électrique se contentait de 22 kWh.
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