L’homme qui dévorait les livres et la vie
Oct 31, 2021
3 minutes
Jim Harrison n’avait que 7 mois lorsqu’il mordilla le cuir de l’énorme bible familiale tombée par terre. C’est ainsi qu’il prit goût à la lecture, dévorant dans sa jeunesse tout ce qui lui tombait sous la main. Par chance, c’était du bon, Caldwell, Anderson, plus tard Dostoïevski, Rimbaud, Apollinaire, Faulkner, Yeats. Il perdit deux fois son emploi de bureau parce que, en travaillant, il lisait de la fiction et de la poésie. Les livres de Mishima et de Cioran portaient encore quarante ans après des
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits