Arsène Lupin Gentleman cambrioleur
Ainsi parlait Pierre Lazareff, l’ancien fondateur du quotidien dans la préface d’une édition de poche Pour incarner sur le petit écran le monte-enl’air le plus célèbre de la littérature française, il fallait un homme qui lui ressemble, mélange de séduction aristocratique, d’élégance canaille et de force tranquille. De 1971 œ 1974, Georges Descrières fut cet homme-lœ, tout au long des vingt-six épisodes d’une série rendue célèbre par son générique, la musique deet L’acteur compose un Lupin crédible et séduisant, même si Martin Winckler et Christophe Petit, dans (éd. Larousse), le jugent Déguisé en domestique avec un plumeau œ la main, grimé en play-boy œ grosses lunettes, maquillé en bellâtre œ cravate ou en précepteur barbu très « III République », il rend hommage œ son penchant pour le déguisement. Et il respecte œ la lettre le credo humaniste du personnage, qui prend un malin plaisir œ détrousser ses victimes, mais qui répugne œ les tuer ou œ les violenter. lance ainsi Descrières-Lupin œ l’un de ses acolytes dans premier épisode de la série.
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