EMANUELLE BÉART EN ROUGE CULTURE

et que les théâtres, salles de concert, cinémas, opéras, musées, galeries rouvrent leurs portes dans un grand appel d’air. En cette période de réserve, comment avancer quand il n’est plus possible de s’habiller de son rôle principal, celui de raconter des histoires? Pour Emmanuelle Béart, les fragilités font naître des ressources inattendues. Cette parenthèse porte sûrement ses particules lumineuses. L’évocation de l’Odéon convoque forcément la mémoire. « Le Temps et la Chambre », devenu lui-même directeur du théâtre en 2012, « Les Particules élémentaires » Des références comme une ossature qui aident à passer cet hiver où rien ne va plus. « Penthésilée Antimanuel d’économie ». Autre registre, autre répertoire. « (sourire) ». «  » Pour Emmanuelle Béart, « ». À l’heure où la culture reste « confinée » comment vivre cette séquence? « » Cet isolement artistique ouvre donc d’autres portes. Vision positive en forme de perspectives. Comme ce premier film de l’acteur Ludovic Bergery dont elle est très fière. « À découvrir sur les écrans, le 10 février prochain.