Comprendre le flash
Si certains photographes vous disent que rien ne vaut la lumière naturelle, c’est certainement parce que la gestion des flashs les inquiète. Ils allument volontiers une petite source continue pour déboucher un premier plan ou apporter une touche colorée à l’image, mais ont rangé au placard leurs anciens flashs et jamais ne déclenchent celui intégré à leur appareil. Il faut dire que mal contrôlé, le flash peut être le pire ennemi du photographe, entraînant une surexposition du sujet, un arrière-plan bouché, des yeux rouges ou encore de vilaines ombres portées, aussi nettes que contrastées. L’erreur commise par de nombreux utilisateurs est de considérer le flash comme l’accessoire nécessaire quand la lumière ambiante est trop faible. Si vous laissez votre appareil en mode automatique, c’est d’ailleurs exactement dans ces conditions qu’il va extraire son flash intégré alors que c’est précisément là qu’il ne sera d’aucune aide. Surtout si vous n’en maîtrisez pas le fonctionnement.
Une puissance inégalée
Même si les sources de lumière continue disposent aujourd’hui de puissances importantes et que la faible consommation des diodes électroluminescentes (LED) a permis de produire des systèmes autonomes et compacts, celles-ci sont loin d’égaler la puissance des flashs qui, en un instant très bref, délivrent une forte intensité lumineuse. Photographier au flash n’a donc pas d’équivalent
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