4e Hyundai Bayon

Tout nouveau, tout beau, le Hyundai Bayon ne repose pourtant pas sur une plate-forme inédite. Il partage celle-ci avec le Kia Stonic. Il récupère aussi sa motorisation, et souffre donc, hélas, de la même hybridation légère, dont les réactions sont imprévisibles, À l’intérieur, le Bayon souffle le chaud et le froid. En reprenant la planche de bord de la Hyundai i20, il avance le même design épuré mais aussi la même finition médiocre, qui surprend sur un modèle réservé à l’Europe. Les plastiques durs à l’apparence peu flatteuse sont omniprésents. Heureusement, il est parfaitement à jour sur le plan technologique grâce à son instrumentation numérique et son grand écran central tactile. Dommage que le système multimédia se montre peu intuitif et les rangements aussi rares. À l’arrière, il ménage une des meilleures habitabilités et son vitrage généreux préserve une bonne visibilité aux passagers. Malheureusement, son volume de coffre est clairement en dessous de la moyenne et sa modularité quelconque.