Numéro 300!
e mois de septembre débute avec une nouvelle centaine inscrite sur la tranche de votre magazine favori. Numéro 300! Cela représente un palier forcément gratifiant pour l’équipe rédactionnelle, mais aussi pour vous, chers lecteurs, qui nous accompagnez fidèlement depuis si longtemps et sans qui a vu le jour en 1963, à une époque où la plaisance en France était encore balbutiante. À son titre le journal ajoute le mot « Nautisme », probablement pour faire enrager son concurrent le plus sérieux qui porte le même nom et qui est soutenu par l’ arbore alors sur ses couvertures la mention « Voile et Moteur ». La revue connaît un succès rapide sous la houlette de Jean-Michel Barrault notamment, qui fera carrière par la suite au Un jeune lieutenant de vaisseau appelé Éric Tabarly signe quelques articles dans les premiers numéros. Il y raconte ses premières expériences de coureur au grand large. Quelques mois plus tard, il remportera la transatlantique en solitaire sur Les seventies furent fastes pour le développement du nautisme et celui de notre magazine. D’anciens équipiers de Tabarly, comme Bernard Rubinstein ou Bernard Deguy, entrent à la rédaction. Ce dernier affrétera même un voilier aux couleurs de pour participer à la seconde course autour du monde en équipage. En mai 1984, le mensuel s’arrête au numéro 243 pour repartir aussitôt avec un numéro 1 rebaptisé suite à la fusion avec Un peu plus de dix ans plus tard, le magazine fait ses adieux à la voile. Une enquête montre que le lectorat est devenu motonaute à plus de 80 %! Le n° 128 de sera donc le dernier. En 1995, le compteur est remis une nouvelle fois à zéro avec la création de qui ne souffre d’aucune ambiguïté sur la nature de son contenu. Après son rachat par les Éditions Larivière en août 2003, la revue renoue avec le terme « Yachting » qui se glisse entre « Neptune » et « Moteur ». Depuis, l’aventure se poursuit. L’équipe rédactionnelle vous donne rendez-vous dans huit ans pour le numéro 400. Longue vie à
