Suzuki T500
oyons francs: la Suzuki T500 n’était pas le choix n° 1 pour notre arsouille, elle était l’un de nos mulets en cas de panne dans le troupeau. Bingo! Après moins d’une heure de roulage, un pointeau de carbu de la Kawasaki assurée. Le bruit? Non mais c’est fort là, hein? Fort en sortie d’échappement parce qu’à l’époque, c’était normal et même au niveau du moteur, on entend bien les pistons et les segments dont (comme pour la 400 KH du reste) les frottements résonnent dans les ailettes des cylindres. Mais c’est normal, c’est la conception qui veut ça et pour autant, ça fonctionne et c’est fiable. La position est du genre « super cool », la mousse de selle manque de densité mais l’assise est relax. Il y a du couple mais globalement, ça fonctionne seulement de 3 000 à 6 000 tr/min. La boîte 5 est lente, pas vraiment précise mais son étagement est convaincant. En revanche, qu’est-ce que ça vibre nondidiou! Mais vraiment, hein?! Pourtant, quel charme elle renvoie cette moto… Tout en rondeur mais basse et longue, superbe dans ce coloris relevé d’innombrables chromes. Merci mamie T.
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