MAZDA MX-5
Elles se font de plus en plus rares, les voitures plaisir, sacrifiées sur l’autel qui de la rentabilité, qui des normes antipollution, qui du malus… Pour l’heure, la MX-5 passe entre les gouttes, et sa recette n’y est pas pour rien : un engin léger, donc agréable à conduire, et sans besoin de gros moteur, donc peu polluant, ce qui évite aussi le gros malus écologique. Histoire de réduire les coûts, le développement de cette quatrième génération (“ND” pour les initiés) a été partagé avec Fiat, qui la propose de son côté sous l’appellation “124” (également chez Abarth) avec d’autres motorisations, ainsi qu’un design et des réglages différents. Inutile de vous dire que c’est la version Mazda, l’archétype en quelque
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