La vague du changement
Quand l’émerveillement précède l’action
ntre ports industriels, chalutiers de pêche et tourisme de plaisance, la façade atlantique est loin d’être un refuge pour les cétacés. Et pourtant, depuis quelques années, ne voit-on pas fleurir dans les médias locaux les observations furtives depuis nos côtes de ces craintives sirènes? Consciente du capital sympathie de ces animaux, l’association Itsas Arima, située sur la côte basque, s’attelle à ce que la protection de la biodiversité marine ne soit pas seulement l’affaire des adultes. « Pour protéger nos cétacés, en tant que citoyens, nous pouvons par exemple boycotter les produits issus de pêcheries industrielles. Mais aussi éviter le plastique, ne pas jeter n’importe quoi dans son évier, etc. », explique Aurore Toulot, biologiste et présidente de l’association. Bien qu’ayant perpétué une longue tradition de chasse à la baleine, les Basques n’ont heureusement pas tout décimé. « On recense une quinzaine d’espèces de
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