Edito
En toute franchise, on aimerait bien vous parler un tantinet moins souvent de véhicules électriques. Certes, ce marché reste en plein essor , mais il ne concerne toujours pas (c’est un euphémisme) la majorité des automobilistes. Oui mais voilà, pour lui dicter sa ligne éditoriale. Non, il s’agit juste d’une réglementation européenne, tout ce qu’il y a de plus officielle, et qui impose aux constructeurs de baisser méchamment leurs émissions de CO2 et donc, indirectement, de délaisser les moteurs diesels et essence. Une véritable crise industrielle, censée être bénéfique pour la planète, mais qui de fait l’est un peu moins pour la diversité des nouveaux modèles proposés dans leurs catalogues. A tel point que même l’honorable institution Bentley, qui n’a pourtant jamais hésité à glisser 12, voire 16 cylindres sous le capot de ses luxueux carrosses, promet de renoncer aux thermiques “dès” 2030. Une promesse “gratuite”, qui, de toute manière, au vu de la production anecdotique du britannique, aurait autant d’impact sur le climat que si tonton Gaston arrêtait de fumer…
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