Qui va gagner?
ON Y EST PRESQUE!
Et pour le public comme pour les teams, la tension monte à l’approche de ce sacré 8 novembre, un départ qui se joue en outre dans un contexte administratif et sanitaire ô combien particulier. Mais concentrons-nous sur les marins de ce neuvième Vendée Globe, et sur leurs montures.
Qu’ils soient skippés par des favoris, des prétendants, des outsiders ou par des coureurs sans prétention au podium, les trente-trois bateaux attendus sur la ligne de départ composeront une flotte très hétérogène technologiquement parlant. D’un côté, les néo-foilers avec des IMOCA sortis de chantier entre 2018 et 2019, à l’image de ou encore i, affichent des carènes aux formes futuristes conçues avant toute chose pour coller aux foils. Ces appendices à l’envergure impressionnante dont tout le monde parle doivent permettre de soulager le bateau en limitant la traînée de la coque dans l’eau. Avec à la clé des moyennes plus élevées et donc un (un plan Verdier). Seul , qui vient de faire modifier son étrave pendant l’été et qui a remporté la dernière Transat Jacques Vabre, semble avoir trouvé la bonne formule du premier coup. Charlie Dalin s’élancera donc des Sables gonflé à bloc même s’il ne peut se targuer de l’expérience d’un Jérémie Beyou, qui a déjà trois Vendée Globe au compteur… S’il poursuit ses entraînements outre-Manche, Alex Thomson ne viendra pas pour faire de la figuration, c’est une évidence, lui qui se considère à raison comme l’un des grands favoris de la course. A la barre d’un bateau qui promet d’aller très vite, le skipper d’ connaît le chemin et les écueils d’un tour du monde à la voile!
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