OLYMPUS Le Micro 4/3 reste un atout
C’est parce qu’elle exploite à merveille son petit capteur que la marque peut proposer une stabilisation supérieure à la concurrence
Comment parler d’Olympus sans aborder la nouvelle qui a fait grand bruit cet été? Après 84 ans d’existence sur le marché de la photo, la société japonaise a décidé de se concentrer sur son activité médicale et scientifique, bien plus lucrative. Elle a donc cédé le mois dernier sa branche Imagerie au fonds d’investissement Japan Industrial Partners. Il n’en fallait pas plus pour que certains annoncent la mort pure et simple des appareils photo Olympus. Si personne ne peut lire l’avenir et que les nouvelles ne sont évidemment pas réjouissantes pour le personnel de la compagnie, un rapide coup d’œil sur l’année passée montre pourtant qu’Olympus affiche un remarquable dynamisme. Toute la gamme de boîtiers, exception faite de l’E-M1 X sorti début 2019, a été renouvelée. Et si les changements apportés à chaque boîtier se font dans la continuité – la nouvelle gamme ne se démarque pas par une fonctionnalité révolutionnaire ou un record de définition – ces évolutions sont réelles. Surtout, il faut reconnaître à
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