L’INCROYABLE FAMILLE TRUMP 1. AU NOM DU P RE
PENDANT TROIS SEMAINES, MATCH RACONTE LE DESTIN DU MILLIARDAIRE DEVENU PRÉSIDENT, DE L’ENFANCE À SON RÊVE DYNASTIQUE
La mère, écossaise, admire les Windsor. Mais le père, né dans le Queens, est un conquérant. Il fixe la consigne : « Sois un roi. » Donald a 6 ans quand il l’emmène assister aux prêches de Norman Vincent Peale, ce pasteur star qui prône la religion de la gagne à tout prix. Une certaine vision de l’american dream… qui restera, pour lui, parole d’évangile. Amour du prochain mis à part. Puisque l’arme fatale du winner est : « l’instinct de tuer ».
Le grand regret : Fred Trump, self-made-man, travailleur acharné, aussi exigeant comme patron que comme père, ne l’a pas vu entrer à la Maison-Blanche. Il est mort en 1999. Déçu par son premier héritier, Freddy Jr, jugé trop faible, le promoteur immobilier du Queens a reporté son ambition sur Donald. Il lui a montré comment négocier avec les plombiers et les conseillers municipaux… en suivant toujours le même précepte : « Frappe deux fois plus fort que l’autre. » Avec Barron, la relève est assurée. Ce « mini-Donald », selon sa mère, Melania, s’amuse à répéter aux nurses la formule paternelle devenue culte : « Vous êtes virées ! »
UN ADO BAGARREUR ET REBELLE QU’ON EXPÉDIE À L’ACADÉMIE MILITAIRE
AU MOMENT DE FORMER BARRON, IL ÉVOQUE LE GRAND-PÈRE AUX SOURCES DE LA SUCCESS STORY
IL A GRANDI DANS LE QUEENS ET S’EST FAIT UN PRÉNOM À MANHATTAN
A QUELQUES MOIS DE LA PRÉSIDENTIELLE, SA De notre correspondant à New York
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