L CH PAR LES MILITAIRES ET UNE PARTIE DE SON CAMP, CRITIQU PAR SA FEMME, TRUMP EST BOUT, L’AMRIQUE AUSSI
Acontrecœur, le week-end dernier, Donald Trump a renoncé à aller jouer au golf. Le temps, pourtant, s’y prêtait. Tout était prévu pour qu’il rejoigne son club à Bedminster, dans le New Jersey. Il est resté enfermé à Washington dans une Maison-Blanche déserte, transformée en Fort Knox, cernée par les manifestants. Donald Trump n’a pas eu le choix. Les dix derniers jours ont probablement été les pires de sa présidence.
Vendredi 29 mai, 19 heures. Quatre manifestants parviennent à franchir une grille et à pénétrer dans la zone protégée qui entoure la Maison-Blanche. Dans l’entourage du président, c’est la panique: l’alerte passe du jaune au rouge. Il faut mettre la « First Family » en sécurité, dans l’abri antiatomique appelé « PEOC » (Presidential Emergency Operations Center).Trump y passe environ une heure en compagnie de Melania et de leur fils, Barron, qui, selon plusieurs témoignages, sont « secoués
