La botte secrète de
es designers, notamment français, tels que Patrick Jouin ou Patrick Norguet, ont souvent encouragé le journaliste à rendre lui aussi visite aux usines de Pedrali. Selon eux, elles représentent Pedrali souligne. C’est une façon de jouer avec la couleur, non pas en opposant simplement différentes teintes entre elles, mais plutôt en misant sur les contrastes d’intensité d’une seule. Cela veut dire que, avant de s’asseoir dans le fauteuil à une ou deux places de la gamme « Tribeca » de Pedrali, l’usager éprouve d’abord un effet visuel, celui que dégage fatalement une chaise empilable en rouge, rose ou blanc (sept couleurs disponibles). Les designers de CMP Design, Michele Cazzaniga, Simone Mandelli et Antonio Pagliarulo, ont tout prémédité. Qu’on mélange les sièges ou qu’on les assortisse, sur une terrasse publique ou chez soi, l’esthétique du lieu s’en ressent avant même que l’on s’asseye. Tant mieux si la table de la gamme est assortie… ou pas. Au client de choisir, à la mesure de son audace. Le mobilier outdoor le plus simple devient ainsi un élément décoratif que l’on peut associer, jusqu’avec la couleur des murs ou du sol, dans tout projet architectural. Pedrali signe ainsi la fin des espaces jusque-là délaissés du point de vue du style. Celui de la gamme « Tribeca » rappelle un peu les sièges des années 60, avec leur structure en métal tubulaire jouant avec le reste de l’assise en corde plastique. Cela jette toujours de jolies ombres sur le sol en terrazzo… et reste aussi, pour le côté pratique, facile à nettoyer.
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