Soutien à la jeune création
algré l’abandon du prix L’art est vivant, précédemment attribué par un collectif de collectionneurs et doté d’une somme de 5000 euros, le secteur « Promesses » poursuit son entreprise comme la qualifie son directeur, Guillaume Piens, Art Paris s’emploie à valoriser une vision extraoccidentale du marché. Ainsi, l’exploration menée au cours des saisons précédentes sur le territoire africain se pérennise avec la Galerie Véronique Rieffel, installée en Côte d’Ivoire, à Abidjan. Sur son stand consacré à l’art contemporain et au design, un hommage sera rendu à la Franco-Marocaine Najia Mehadji, qui puise dans sa double culture pour alimenter son langage pictural. Elle s’inspire de la forme architecturale de la coupole, des fleurs, de la danse des derviches ou de celle de l’Américaine Loïe Fuller, inventrice de la fameuse aussi bien que des drapés du Greco ou de de Camille Claudel, pour créer les volutes de ses œuvres graphiques. Selon le dictionnaire Larousse, la promesse est un à l’image de celui de permettre aux galeries débutantes d’exposer dans la cour des grands. « Promesses » tenues pour Art Paris!
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