CES INTÉRIEURS QUI NOUS RÉVÈLENT

es historiens et les spécialistes s’accordent pour considérer l’Américaine Elsie de Wolfe comme la fondatrice du métier de décorateur et d’architecte d’intérieur au tournant du XX siècle, où l’intérieur devient autonome de l’enveloppe extérieure. Jusque-là les projets étaient complets (extérieur et intérieur orchestrés par un architecte secondé par des ébénistes, des tapissiers et autres artisans), mais cette frontière n’est pas pour autant devenue étanche puisqu’on continue encore de faire des projets totaux où l’architecte maîtrise tout, de l’extérieur à l’intérieur. À la fin du XIX, on assiste à l’émergence d’un espace appelé « intérieur » qui permet d’engendrer une, ce génie du lieu qui les protège et les enveloppe en en faisant des selon William Norwich, préfacier de l’ouvrage , éditeur et journaliste ayant travaillé pour et le . Source de discussions vives et tranchées, le monde de la décoration n’est pas un univers enchanté ; la compétition y est sévère et seuls les meilleurs émergent.