Les labels parisiens
et versatile, des comètes pleines d’une belle énergie apparaissent régulièrement dans le ciel de la capitale – leur exploit est à saluer, surtout pour celles qui ne sortent pas du sérail du prêt-à-porter. L’emballement est perceptible à travers ces labels qui inondent Paris et l’incluent dans leur business-plan. On ne compte plus les sweats « Je t’aime Paris », « Au Parc », « Clubs de Parisiens » ; ni les marques géographiquement identifiables, comme Bleu de Paname ou Commune observe Gilles Lasbordes, directeur de Première Vision, salon qui présente les tendances de la mode et du textile. Le marketing numérique est le nerf de la guerre, et les enseignes divulguent leurs thèmes éthiques préférés, sans oublier la vie personnelle du fondateur. Cependant, malgré leur bonne volonté, quelles sont leurs chances pour ces marques de ne pas faire que passer dans le monde de la mode ?
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