L’ÉDITO
La beauté invite l’imprévisible, l’aléatoire. En cette fin d’année, les intérieurs accueillent les mythes, les totems, les bons esprits, le spirituel.
Toile de fond contrastée. État d’esprit contrarié par, esthétique de l’imperfection, prolonge encore l’idée. L’artiste décline des pièces hybrides, organiques et symbolistes comme la grenade pour la fécondité, la feuille de figuier pour la générosité, le gui pour l’immortalité… L’architecte d’intérieur Guillaume Alan, qui sculpte les volumes en ombre et en lumière, et Rose, l’aventurière de l’existence, qui juxtapose des espaces peuplés d’objets et de couleurs, et une chambre immaculée, creusent, l’un comme l’autre, ce sillon. Ni les fantaisies nocturnes de Vincent Darré ni la parenthèse magnétique de Marie Gillain au Moulin-Rouge ne viendront contredire l’idée indélébile que Paris est une fête, un joyeux joyau. Alors Paris brille-t-il ? Oui, infiniment.
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