BIJOUX DE SENTIMENTS
rendent hommage à toutes les cultures du monde qui ont inspiré la Maison Chaumet depuis son origine il y a 240 ans. Les salons patrimoniaux du premier étage, dont celui baptisé Chopin en l’honneur), « ». Marie-Laure de Noailles lui commanda un bracelet argenté de camés et de perles quand la mode était aux courbes naturalistes, la milliardaire Gertrude Vanderbilt Whitney, sculptrice et galeriste le sollicita pour un diadème aux ailes de diamants (au nombre de 1274), symbolisant son indépendance, l’écrivain, prix Pulitzer, Edith Wharton, lui commanda les parures les plus audacieuses. Les bagues Trésors d’Ailleurs évoquent les pays chers au joaillier, et prennent le nom de leurs héroïnes: « Oriane» comme la duchesse de Guermantes de Marcel Proust, inspirée par la comtesse Greffulhe personnalité des arts et mécène, ou encore « Isadora» pour Isadora Duncan, danseuse américaine, « Artemisia» peut être Gentileschi, femme peintre au XVII siècle qui fit scandale, ou encore « Shéhérazade». Car ces créations de haute facture, aux complexes architectures d’or, évoquant les verrières du Grand Palais, les volutes d’une pagode, une coupole facettée abritent sous leur toit de pierres précieuses sublimées d’ornements en laque, des secrets. Elles s’inscrivent dans la tradition des bijoux de sentiments. Depuis l’Antiquité, les anneaux de mariage s’échangent. Au XVI siècle, apparaît une nouvelle expression: « ». Sous sa structure d’or et de cristal de roche, « Oriane» dévoile le message de l’être aimé. Quant à « Madame Butterfly », elle révèle les nuances de son cœur, généreux comme l’or ou mystérieux comme la laque noire. Les créations Trésors d’Ailleurs sont des déclarations d’amour au monde et à celles qui l’enchantent.
