Les métamorphoses de Renée Zellweger
Elles sont uniques toutes les deux. C’est leur seul point commun, cinquante ans après la mort tragique de Judy Garland. L’enfant star, ravagée par l’alcool et la dope, détruite à 47 ans par Hollywood, en 1969, revient sur les écrans grâce à Renée Zellweger. Pour elle aussi, c’est un come-back. Elle sort d’un silence volontaire de six ans qu’elle a consacrés à des études de politique internationale, à des actions humanitaires en Afrique et à l’écriture. « A vivre, résume-t-elle. Je ne savais plus qui j’étais. Il était temps de me retrouver. » Hollywood rend hommage aujourd’hui aux quarante ans de règne de cette idole qu’il avait brûlée. Celle qui l’incarne a reçu la plus haute distinction qu’elle
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