Écoute de 30 min
COP28 : les conséquences écologiques des changements climatiques
COP28 : les conséquences écologiques des changements climatiques
évaluations:
Longueur:
28 minutes
Sortie:
30 nov. 2023
Format:
Épisode de podcast
Description
Avec l'ouverture, le 30 novembre, de la conférence mondiale annuelle sur le climat, la COP28, aux Émirats arabes unis, pendant deux semaines, les médias vont parler des impacts des changements climatiques sur nous. Mais qu’en est-il des animaux? C’est le sujet de notre émission cette semaine.Isabelle Burgun en parle avec:
Anaïs Remili, chercheure post-doctorante au département des ressources naturelles de l'université McGill et spécialiste des épaulards.
Anne-Céline Guyon, analyste Climat-Énergie à Nature Québec. Elle participe au panel Biodiversité COP15 et Climat COP28 : Solutions aux causes sous-jacentes des crises de la COP28, le 9 décembre.
Dominique Berteaux, professeur en biodiversité nordique à l’Université du Québec à Rimouski où il est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en biodiversité nordique. Il fait partie du Centre d’études nordiques, du Centre de la science de la biodiversité du Québec, du Groupe de recherche sur les environnements nordiques BORÉAS.
Lire la suite
Anaïs Remili, chercheure post-doctorante au département des ressources naturelles de l'université McGill et spécialiste des épaulards.
Anne-Céline Guyon, analyste Climat-Énergie à Nature Québec. Elle participe au panel Biodiversité COP15 et Climat COP28 : Solutions aux causes sous-jacentes des crises de la COP28, le 9 décembre.
Dominique Berteaux, professeur en biodiversité nordique à l’Université du Québec à Rimouski où il est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en biodiversité nordique. Il fait partie du Centre d’études nordiques, du Centre de la science de la biodiversité du Québec, du Groupe de recherche sur les environnements nordiques BORÉAS.
Lire la suite
Sortie:
30 nov. 2023
Format:
Épisode de podcast
Titres dans cette série (100)
L'université est-elle une compagnie?: Si l’université était une compagnie, l’étudiant serait son client et il serait en droit de dire: «j’ai payé, donc j’ai droit à une bonne note». Si ce raisonnement semble absurde, il n’est pourtant pas si loin de la façon dont certains perçoivent désormais de Je vote pour la science | Agence Science-Presse