La Porte Magique: Un Roman d'Aventure pour enfants avec une touche de Fantastique, qui enseigne la valeur de l'Amitié et du Courage | Livre pour enfants de 8, 9, 10, 11 et 12 ans

Par Caterina Argenti

Une aventure de courage, d'amitié et de mondes cachés attend les jeunes lecteurs.

Tom et Laura, deux élèves de 12 ans aux caractères opposés, découvrent une ancienne porte cachée dans leur école, menant à un monde où le possible et l'impossible se rencontrent. Ensemble, ils font face à une série de défis magiques et mystérieux pour sauver le monde derrière la porte magique et le leur, apprenant ainsi la valeur de l'amitié et du courage.

Âge de lecture recommandé : 8-12 ans

Dans ce livre, vous trouverez :

ᯓ★ Une histoire passionnante qui capte l'attention du lecteur page après page.ᯓ★ Des illustrations vivantes donnent vie au monde qui se cache derrière la porte magique.
ᯓ★ Un langage clair et engageant, adapté aux enfants de tous âges.
ᯓ★ Des moments de tension et d'aventure qui nourrissent l'imagination et stimulent la créativité.
ᯓ★ Une expérience unique qui enseigne l'importance de l'amitié, de la ruse et de lapersévérance.

Et bien d'autres choses encore !

« La porte magique » est plus qu'une simple histoire, c'est une invitation à découvrir le pouvoir de l'imagination et la valeur de l'amitié. C'est un livre parfait à lire seul ou avec un adulte, idéal pour les soirées calmes ou pour l'heure du coucher.

Au-delà de la couverture de ce livre se cache une aventure extraordinaire.
Êtes-vous prêt à franchir « La porte magique » ?

• Langue: Français
• Éditeur: Dream Light Fiction
• Date de sortie: 23 nov. 2025
• ISBN: 9781806474011

Aperçu du livre

La porte

Magique

Copyright © 2024 Caterina Argenti

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CHAPITRE 1

CHAPITRE 2

CHAPITRE 3

CHAPITRE 4

CHAPITRE 5

CHAPITRE 6

CHAPITRE 7

CHAPITRE 8

CHAPITRE 9

CHAPITRE 1

Avez-vous jamais pensé que votre école était plus qu'une simple école ? 

Il m'arrivait parfois, en marchant sans enthousiasme sur le chemin bétonné qui menait à mon école, de rêver, de rêver beaucoup. 

Je donnais un coup de pied dans un caillou et j'imaginais que le caillou se transformait en météorite qui détruirait l'école. 

Ou qu'un jour, marchant toujours sans enthousiasme, j'imaginais que l'école se transformait en une cour de récréation sur le thème d'Indiana Jones, avec des toboggans pour tous les types de courageux, des filets sur lesquels sauter jusqu'à atteindre le ciel, des terrains pour des défis de basket-ball sans fin et, bien sûr, sans Billy. 

Parfois, je me demandais pourquoi mon école devait toujours être comme ça : sans joie, sans enthousiasme, il n'y avait rien qui me faisait dire... wow ! 

« Hé, arrête d'être tout le temps dans les nuages ! » La voix de Laura interrompit soudain ses pensées et Thomas se rendit compte qu'il était en train de recommencer : parler à un public imaginaire pour expliquer ses pensées. 

« Bonjour Laura ! » répondit-il en s'approchant du portail de leur école. 

Thomas et Laura s'étaient liés d'amitié dès la première année et avaient continué à être amis, restant dans la même classe la deuxième année également. 

« Combien de personnes as-tu rencontrées aujourd'hui ? » taquina Laura. 

« Je me disais que tout serait plus agréable si l'école cachait quelque chose d'intéressant. » 

« Comme quoi ? » 

Thomas réfléchit quelques secondes. Il avait envie de plus, mais ne savait pas exactement ce qu'il cherchait. 

« Je ne sais pas, quelque chose. Et ce serait aussi génial si Billy n'était plus dans notre classe. » 

« Oui, c'est une vraie plaie », acquiesça Laura. 

Ils franchirent tous les deux le portail d'entrée, qui donnait sur une grande cour en béton clair où les garçons jouaient pendant la récréation ou se retrouvaient pendant les cours d'éducation physique. 

Sur le sol, des panneaux rouges et verts indiquaient les terrains de basket ou de tennis. 

Thomas sautillait, évitant de marcher sur les lignes qu'il rencontrait. 

Ils entrèrent dans le bâtiment ocre en montant trois marches et en évitant quelques garçons qui couraient d'un côté à l'autre, lançant une boule de papier qu'ils avaient fabriquée en froissant du papier et du scotch. 

« Hé, donne-moi cette balle », dit l'un des surveillants, « tu sais que tu ne peux pas courir en lançant des objets ! » 

Les trois garçons le regardèrent et continuèrent leur jeu, mais cette fois en marchant. 

« Nous ne courons pas », dit le plus grand des trois. 

« Eh bien, vous ne pouvez pas non plus lancer des objets, les gars. Allez ! Allez en classe, le cours va commencer », conclut-il en essayant de donner un ton sérieux à sa voix pour se faire respecter. 

Cela ne sembla pas affecter les garçons.

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L'école compte cinq étages, que Thomas et Laura doivent gravir chaque jour. Pour leur plus grand bonheur, ils se trouvent au dernier étage du grand bâtiment. 

Chaque jour, ils entrent par l'imposante entrée, où des escaliers de granit gris s'élèvent à l'infini vers le ciel, flanqués de rampes d'un bleu profond. 

Chaque étage s'étend dans au moins trois directions, abritant un nombre de salles de classe et de placards que Thomas et Laura imaginent être infini. 

Il n'est pas rare que les deux enfants s'aventurent dans des salles de l'école auxquelles ils n'ont normalement pas accès. Il s'agit de couloirs réservés aux salles des professeurs ou aux bureaux des secrétaires et de l'administration. Ils se sentent toujours un peu mal à l'aise de marcher dans ces couloirs sans une bonne raison, mais ils cherchent toujours de nouvelles cachettes pour leur jeu préféré pendant les quinze minutes de pause. 

Le bâtiment est vieux; certaines parties ont été rénovées, mais d'autres paraissent aussi anciennes que le gardien Jean, qui peut à peine monter les escaliers, mais court partout en grondant les enfants qui lui font des farces. 

Il semble aussi vieux que l'école elle-même, mais Thomas et Laura sont sûrs qu'il n'a pas plus de 50 ans, même si son visage fatigué et sa démarche lente, presque traînante, suggèrent le contraire. 

Il est le gardien. Le seul à avoir toujours été dans cette école, à n'avoir jamais changé de travail, à connaître tout le monde et à tout savoir sur chacun. Pourtant, il n'a jamais révélé un secret ni colporté de rumeurs. 

Il savait tout et connaissait tout, tout simplement, et c'est peut-être pour cela que les gens se confiaient à lui. Ils étaient certains de son silence et de sa discrétion. Jean ne faisait même pas de grimaces étranges, ni n'avait de réactions particulières d'indignation ou de stupéfaction quand on lui disait, par exemple, que Matthieu avait été renvoyé pour avoir volé dans les fonds de la fête de fin d'année de l'école, ou quand un parent bavard lui racontait les affaires privées d'un