MAUVAIS ESPRIT
Dès l’introduction de ce livre dandy, Matthias Debureaux sépare le bon grain de l’ivraie : Il n’est pas question ici des trublions qui font commerce de leurs gags lourds dans des. Jouer des tours aux gens de pouvoir était son violon d’Ingres. Nous ne dévoilerons pas ici ses coups fourrés, il faut lire le livre, mais on se demande comment on n’en avait pas entendu parler plus tôt – réflexion qui nous vient aussi en découvrant les chapitres cocasses sur Theodore Hook, Alan Abel, Joey Skaggs ou William Donaldson, que l’écrivain tient pour des génies du canular.
